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Chute de LVMH : signe de contraction…

samedi 3 juin 2023 à 10:00

Un article de Henry Bonner

L’envolée de Nvidia ramène un sentiment d’euphorie aux actions, mais des nuages sombres continuent de semer le trouble. Ainsi, l’action de LVMH, vendeur de sacs à main, bijoux, parfums et produits de mode ou de beauté, dégringole suite à un avertissement de la part des analystes de Deutsche Bank, et perd 8 % sur un mois, en raison de cet avertissement (vous voyez qu’après une tentative de rebond, fin mai, l’action repart à la baisse).

L’analyste Matt Garland écrit par exemple aux clients de la banque d’affaires :

“Aux États-Unis, les ventes cessent de croître et entament même des baisses. La demande de la part des clients plus sensibles économiquement semble commencer à ralentir.”

En bref, le consommateur américain, l’une des sources des ventes records de LVMH et d’autres marques de luxe, perd de l’appétit pour les produits du groupe.

Un rapport récent du groupe McKinsey précise que cette tendance touche toute l’économie, et non seulement dans la mode ou le luxe. En chiffres ajustés de l’inflation, la croissance de la consommation a chuté au cours des deux dernières années : en janvier 2022, le rythme de croissance annuel dépassait 10 % ; à présent, il chute sous les 0 %, pour atteindre -0,7 %.

Le graphique ci-dessous, de la branche de New York de la Fed, vous montre les grandes lignes des deux dernières décennies, aux États-Unis.

En somme, un accès facile au crédit déclenche un gonflement de la consommation et des actifs financiers jusqu’en 2008. Le krach du marché-actions coïncide avec des faillites d’entreprises et de particuliers, ce qui réduit la quantité de crédit jusqu’en 2014.

Quant au graphique ci-dessous de la dette des entreprises non-financières, il montre que la dette privée des entreprises a chuté, comme celle des ménages, en raison de la crise 2008 (bande grise). La tendance touche le fond dès 2010, et remonte la pente par la suite, 4 ans avant la remontée des crédits aux particuliers.

En bref, les marchés des crédits aux entreprises et aux particuliers ont tendance à évoluer à l’unisson. Les contractions du crédit reviennent à des baisses de la consommation. Elles touchent aussi les valorisations du marché actions.

Elles mènent à des faillites, même dans des secteurs qui n’ont rien à voir avec la finance. Par exemple, plusieurs dizaines de lignes aériennes commerciales ont cessé les opérations en 2008 et 2009. Le chiffre d’affaires de l’industrie a baissé de 15 %, et les pertes du secteur ont atteint 10 milliards $, pendant deux ans d’affilée.

Une contraction de la création de crédit signale donc l’avènement d’une crise financière – un krach boursier et des faillites d’entreprises – et d’une récession, avec des pertes d’emploi et des baisses de revenus. Elle mène à des pertes de revenus pour des entreprises comme LVMH, qui dépendent du pouvoir d’achat du consommateur.

En dépit des succès de l’IA, des signes de tension surviennent dans les paris sur la technologie. Par exemple, le milliardaire Richard Branson vient de mettre fin à son projet de satellites, Virgin Orbital. Après une introduction en Bourse en 2021, la société procède à la liquidation et met fin aux opérations. D’autres paris de la sorte connaissent aussi des difficultés. L’autre société d’exploration de l’espace de M. Branson, Virgin Galactic, baisse de moitié par rapport à son prix d’introduction en 2019, comme vous le voyez ci-dessous.

Les pertes grimpent en continu. La société perd 210 millions $ en 2019, 270 millions $ en 2020, 350 millions $ en 2021, et 500 millions $ l’an dernier.

Dans une période d’augmentation de la disponibilité du crédit, pour les particuliers et les entreprises, ce genre de projet peut trouver des soutiens. Parfois, des paris sur la technologie portent fruit. L’un des exemples les plus connus est le cas de Tesla. La société a fait des pertes pendant 10 ans d’affilée. Mais depuis 2021, ses bénéfices annuels dépassent les 10 milliards $. Certes, Tesla n’arrivera peut-être pas à la hauteur des attentes des actionnaires qui donnent une valorisation de plus de 500 milliards $ au titre. Néanmoins, Tesla ne court pas à la ruine, et ne semble pas avoir besoin de plus de capitaux. Des projets comme Virgin Galactic, par contre, risquent d’arriver à bout de la patience et de l’enthousiasme des investisseurs avant d’atteindre la rentabilité.

Le resserrement du crédit va faire des dégâts chez un grand nombre de projets de la sorte.

Je présente en ce moment plusieurs opérations que nous recommandons à nos lecteurs.

Nous pensons qu’en dépit de la baisse des prix depuis septembre, le secteur de l’énergie a des raisons de décoller de nouveau.

À la différence de paris sur la technologie, des entreprises que nous regardons dans l’énergie génèrent parfois des rendements de 16 % et des dividendes de 25 % (aux chiffres actuels, qui bénéficient toujours de l’aubaine des prix élevés en 2022).

Pour plus d’informations au sujet de mes paris sur l’énergie, et d’autres secteurs qui nous intéressent, suivez mon équipe dans notre lettre quotidienne gratuite.

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Source : https://h16free.com/2023/06/03/74494-chute-de-lvmh-signe-de-contraction


Du genre, des trans et du n’importe quoi dans nos écoles

vendredi 2 juin 2023 à 09:00

Cela faisait longtemps qu’on n’en parlait plus, mais heureusement, l’actuel ministre de l’Éducation n’a pas lâché l’affaire : en quelques annonces et quelques tweets bien léchés, il vient de remettre les questions de sexe et de genre dans les têtes de tout le monde. Youpi, nous allons continuer à parler de zigounettes et de pratiques sexuelles aux enfants de tous âges, directement au sein de leurs établissements !

Eh oui : nonobstant les petites actualités (économiques, politiques, sociales) parfois agitées qui produisent l’écume des jours, il est toujours rassurant de constater que certains savent faire preuve de constance et rester concentrés sur des objectifs de long terme. C’est ici le cas de toute une caste d’individus bien décidés à réformer (déformer ?) la société pour qu’enfin, elle se plie à leurs visions et Pap N’Diaye n’est pas le dernier dans l’histoire : pour ceux-là, c’est décidé, il faut absolument qu’on parle de sexe à l’école et le plus tôt sera le mieux.

Ceci ne devrait en réalité surprendre personne.

En effet, dès 2011, on découvrait que des petits manuels scolaires dérangeaient parce qu’ils dégenraient, montrant que la tendance était lancée. Quelques années plus tard, les questions de genre étaient remises sur la table par une Najat Vallaud Belkacem décidée à orienter son ministère dans cette direction, jugeant probablement que l’excellent niveau des élèves permettait ces fantaisies.

Certains s’en émurent pourtant : peut-être l’école n’était pas l’endroit pour ces sujets, peut-être fallait-il avant tout se concentrer sur la lecture, l’écriture et le calcul avant d’envisager de parler du sexe des anges ou de leur en imposer le changement de temps en temps (pour voir).

Ces protestations furent l’occasion pour la presse du pays de rappeler la faute de goût insupportable, voire la dérive droitière que constituaient ces gémissements parentaux, et de bien expliquer que l’introduction des théories du genre et du wokisme dans l’enceinte scolaire relevait du pure fantasme voire du complot (encore un coup de l’extrême-droite fascisto-patriarcale toxique, évidemment).

Cependant, la “folle rumeur” de 2014 semble avoir pris un corps bien solide, bien vérifiable et surtout bien omniprésent, tant dans les articles d’une presse de moins en moins prude lorsqu’on évoque le sujet, que dans les manuels et les enseignements eux-mêmes.

Et voilà que les stéréotypes de genre se perpétuent à l’école à coup de mathématiques pour les garçons et de français pour les filles (au passage, on pourra se rassurer en se disant que ces stéréotypes sont en train de se diluer dans le niveau de plus en plus médiocre des élèves).

Et voilà que des Grandes Écoles se gargarisent de cette égalité des genres, adoubant de leur prestige (au moins celui du passé) ce qui n’était avant qu’une “folle rumeur”.

Et voilà que des ateliers de lecture pour des enfants de 3 à 6 ans sont à présent animés par des Drag Queens dont on rappelle qu’elles sont à l’éducation des jeunes enfants ce que Marc Dorcel est à la cuisine traditionnelle.

Et voilà que, même au sein de l’École Alsacienne, cette école privée et élitiste du sixième arrondissement de Paris dans laquelle – coïncidence – les enfants de l’actuel ministre sont scolarisés, une conférence a été donnée par l’association de transsexuels OUTrans devant des classes de quatrième, ce qui n’a pas manqué de susciter l’indignation de parents qui n’avaient apparemment pas reçu les explications de la presse française sur les fausses rumeurs qui courent à ce sujet.

Décidément, que de chemin parcouru en quelques années !

La folle rumeur n’en est plus une, et l’insertion plus ou moins subtile de messages pro-LGBT dans les manuels ne fait même plus débat. Et s’il y a débat, il est ouvertement tenu par des adultes devant des enfants le plus souvent et le plus tôt possible. Si, en 2014, la presse officielle s’effarouchait qu’on ose s’offusquer de telles questions dans une enceinte scolaire, ce chemin parcouru autorise, moins d’une dizaine d’années plus tard, la même presse à fustiger ceux qui ont l’insupportable bigoterie de constater que les hommes sont en moyenne plus grands et plus musclés que les femmes.


Notons cependant que, dans le même temps, le niveau d’instruction et de culture générale de nos élèves est maintenant si bas qu’il commence à affoler tous les parents et les enseignants un tant soit peu réalistes.

De tout cela, on comprend donc que la tendance, lancée il y a plus de dix ans, parvient gentiment à son apothéose méphitique. L’incroyable densité d’imbécilités et de messages à caractères sexuels au sein de l’école française, en lieu et place d’enseignements indispensables à l’édification d’individus opérationnels dans notre société, impose de s’interroger sur ce qui a poussé les précédents et l’actuel ministres de l’Éducation nationale à laisser ces discours s’installer avec autant d’aisance.

Ainsi, pourquoi nier les différences entre les hommes et les femmes comme le font certains scribouillards de Libération ? Pourquoi vouloir à tout prix amener les questions d’identité, de sexe et de pratiques sexuelles dans le cadre scolaire ? Comment ne pas voir qu’il s’agit ici de gommer les différences essentielles, de faire disparaître les notions naturelles en lien avec le sexe et à la reproduction sexuée ? Ici, l’introduction en loucedé de ces sujets dans les écoles n’est que ça : une tentative de reprogrammation dès le plus jeune âge de mécanismes biologiques pourtant fondamentaux non seulement à l’établissement d’individus psychologiquement stables, mais à une société fonctionnelle et saine.

En effet, il ne s’agit ici rien moins qu’un discours anti-humaniste qui n’est pas sans rappeler la volonté (camouflée en écologisme) de réduire la population : sous prétexte d’une recherche de droits à une égalité chimérique, on vise à transformer l’anormal en normal, ce qui, par définition, contrevient à la fois à la survie de l’espèce et à une existence normale (au sens le plus basique c’est-à-dire statistique). Autrement dit, on tente de normaliser ce qui aboutit à la stérilité et favorise l’instabilité psychologique.

C’est non seulement grotesque, c’est véritablement suicidaire.

Mais sur le plan politique, outre le “bénéfice” d’une population qui diminue et d’individus instables et incultes devenus manipulables à loisir à force de torsions systématiques du langage, donner du champ à ces théories garantit qu’on va pouvoir continuer à cornaquer les masses et tirer parti des systèmes collectivistes en place, en subventionnant (discrètement ?) telle association militante ou tels groupes d’activistes extrémismes via l’impôt de tous, sans que les imposés aient leur mot à dire, accroissant la manipulation au frais des manipulés et de leur progéniture.

Si tout ceci était su, assumé, ouvertement admis sur la place publique, il n’y a pas le moindre doute que les contribuables s’y opposeraient. Mais de la même façon qu’on peut ainsi financer des guerres que pourtant le peuple ne veut pas, on peut financer un remodelage sociétal et un lavage de cerveaux des plus petits aux plus grands avec l’argent de citoyens.

Youpi. Mission réussie.

societe en 2022 - genre sexe lgbt

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Source : https://h16free.com/2023/06/02/74353-du-genre-des-trans-et-du-nimporte-quoi-dans-nos-ecoles


L’Europe aimerait tant censurer Twitter

mercredi 31 mai 2023 à 09:00

Mais quelle mouche le pique ? Dilaté comme jamais, un ministricule du gouvernement dont personne ne connaissait l’existence jusqu’à présent exprime tout soudain le désir de bannir Twitter de l’internet sinon européen, au moins français.

L’information, rapportée avec ferveur par l’habituelle presse de révérence et gluante d’obséquiosité, laisse peu de place au doute : un certain Jean-Noël Barrot qui, selon ce média, serait le ministre français délégué au numérique, se serait déclaré en faveur de bannir Twitter de l’Union européenne si ce réseau social devait refuser de se conformer aux règles que cette dernière entend lui imposer.

Pour le ministricule, c’est très simple : tout manquement aux règles édictées dans l’Union provoquera des sanctions sévères, comprenant des amendes pouvant aller jusqu’à 6% du chiffre d’affaire mondial de la société concernée voire le bannissement pur et simple de la plateforme d’Elon Musk.

Cette réaction du commis de la République tout excité s’explique par la très récente décision du milliardaire, patron de Twitter, de sortir officiellement sa plateforme du code de bonnes pratiques de l’Union Européenne contre la désinformation en ligne. Cette espèce de charte lancée en 2018 contient une quarantaine d’engagements visant à gonfler l’importance de fact-checkers plus ou moins officiels et à ralentir voire priver de diffusion les sites ou les internautes diffusant ce qui est alors commodément qualifié de désinformation ou “d’infox” selon la terminologie actuellement à la mode.

Jusqu’au rachat par Musk de la plateforme, l’équipe en place n’avait eu guère de difficultés à suivre ces engagements puisqu’il s’agissait essentiellement de faire taire tout discours dissident, aussi argumenté soit-il, dès lors qu’il sortait des canons officiels autorisés. On a d’ailleurs compté nombre de scientifiques, journalistes et autres chroniqueurs de renom bannis de la plateforme pendant ces dernières années au prétexte qu’ils violaient les règles d’utilisation de Twitter, règles qui s’inscrivaient confortablement dans ces engagements européens.

Depuis, l’arrivée de Musk à la tête de Twitter a prodigieusement agacé l’ensemble des dirigeants de l’Union européenne ainsi que de différents gouvernements, français en tête : il est en effet rapidement apparu que la nouvelle direction prise par le réseau social consistait à favoriser d’abord la liberté d’expression et la recherche de la vérité (avec tous les problèmes et toutes les difficultés que cela peut comporter) avant de considérer la communication officielle des politiciens et de leurs affidés, fact-checkeurs en premier.

Cette libération de Twitter – vis-à-vis de l’étroit carcan dans lequel ces chartes, codes et autres lois limitant la liberté d’expression enfermait la plateforme – fut d’ailleurs l’occasion de publier plusieurs intéressants dossiers (les Twitter Files dont ces colonnes ont relaté quelques aspects) qui eurent le bon goût d’exposer le niveau assez stupéfiant de corruption des élites mondiales, la tendance incroyable des fact-checkers à devenir des fake-makers, la connivence galopante entre les grosses industries et les politiciens, et l’abandon de tout effort démocratique afin de puissamment cornaquer voire carrément manipuler les foules dans les directions décidées unilatéralement par des entités internationales dénuées de toute base démocratique et parfaitement imperméables aux aspirations réelles des peuples sous leur férule.

Il va sans dire que ceci n’a pas du tout plu : sentant qu’il allait devenir singulièrement plus compliqué d’ourdir discrètement des mesures liberticides si une ou plusieurs plateformes d’importance venaient à servir de porte-voix pour une dissidence et une opposition de plus en plus audibles, l’élite autoproclamée tente donc de reprendre la main.

Dans ce contexte, la récente déclaration d’un Thierry Breton, commissaire européen élu par personne, donne une bonne idée de l’infatuation dans laquelle nos dirigeants se vautrent avec plaisir : dès la prise de pouvoir de Musk sur Twitter, ce dernier n’avait pu s’empêcher de rappeler qu’il entendait limiter les libertés de la plateforme. Avec ce récent abandon du code contre la “désinformation”, le même commissaire met le turbo et déclare sans sourciller qu'”Elon peut courir mais pas se cacher”, autre façon de dire que lui, ses petites pulsions de censure et son appareil législatif entendent bien le poursuivre jusque dans les chiottes à la moindre infraction.

Or, alors qu’une vague de lois liberticides sans précédent s’installe dans les pays membres de l’Union, à partir du 25 août prochain, le nouveau paquet législatif dit “Digital Service Act” rentre en application et Breton compte bien tout faire pour bouter Twitter hors d’Europe ou, au moins, le faire rentrer dans le rang.

D’une certaine façon, le frétillant Kommissaire Politique Breton joue sur du velours : il sait que Musk ne dispose pas d’autant de latitude qu’il pourrait en souhaiter, tant le choix se réduit en matière de diffusion d’information sur sa plateforme entre un bannissement complet sur des pans entiers de territoire ou accepter les (souvent nombreuses) demandes de suppression de contenu, la France se situant d’ailleurs et sans surprise en tête dans les États les plus répressifs en la matière.

Cependant, les commissaires autocratiques européens et les petits ministricules français auraient tort de se réjouir trop vite : si Musk se doit effectivement de composer, au jour le jour, avec leurs pulsions de censure, la menace d’un bannissement de l’Europe toute entière pourrait jouer contre eux.

D’une part, le patron de Twitter pourrait choisir d’appliquer très scrupuleusement la nouvelle loi mise en place. Il va sans dire qu’au vu des performances historiques en matière de faits pour la plupart des comptes Twitter de membres du gouvernement ou de journalistes, la plupart seraient assez rapidement bannis : à ce petit jeu, la première désinformation provient sans conteste des menteurs pathologiques gouvernementaux comme Véran ou Macron ou des corrompus journalistiques, les fact-checkeurs n’étant jamais en retard d’une infox (quand ils ne détournent pas les fonds de Marianne).

D’autre part, il n’échappera à personne qu’une censure massive, au niveau de toute l’Union, pourrait avoir de nombreux effets de bords que les technocrates du calibre de Breton semblent incapables d’envisager : non seulement, on doit se demander si ce genre de tentatives de censurer Twitter ne va pas se transformer en guerre de tranchées juridique dans chacun des États membres, mais en plus doit-on noter qu’un bannissement total de cette plateforme risque d’agacer quelques dizaine de millions d’internautes européens d’un seul coup, parmi lesquels des entreprises, des associations aux militants pas toujours calmes, des journalistes et toute un grosse partie de cette classe jacassante qui a toujours su se faire entendre…

Le retour de bâton pourrait être croquignolesque à observer.

Enfin, il sera difficile d’oublier que la plupart des mesures techniques visant à censurer des plateformes déjà largement implantées au sein des populations se sont jusqu’à présent toutes soldées par des échecs cuisants : le peer-to-peer et le piratage n’ont aucun souci à se faire, Rumble – bien qu’interdit en France – reste très facile d’accès au travers de contournements techniques triviaux à mettre en place, etc. Il y a fort à partir que si bannissement il y a, il sera très partiel, très contourné et puisse transformer l’ensemble de l’exercice en une coûteuse futilité supplémentaire.

Autrement dit, le bras de fer qui pourrait se mettre en place pourrait révéler et coûter beaucoup plus que ce que les politiciens imaginent à présent.

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Source : https://h16free.com/2023/05/31/74446-leurope-aimerait-tant-censurer-twitter


Nouvelle discipline aux Jeux Olympiques : le saupoudrage de migrants

lundi 29 mai 2023 à 09:00

Les prochains Jeux Olympiques devraient normalement se tenir en 2024 et, selon les probabilités actuelles, pourraient avoir lieu à Paris. Cependant, de nouveaux obstacles s’amoncèlent dans l’organisation de cet événement citoyen et festif qui permettra à la capitale française de briller de mille surmulots feux.

Tout a pourtant bien commencé. La brillante équipe municipale, menée de main de maître par la maire de Paris, Anne Hidalgo, avait dès le départ tous les atouts pour faire de ces événements une réjouissance internationale impressionnante de professionnalisme et d’organisation, tant il est vrai que la capitale française a jusqu’à présent été, sous la houlette des mêmes pilotes, une véritable vitrine de ce qui se fait de mieux en matière de magnificence, de luxe et de praticité.

D’ailleurs, l’ambiance est manifestement excellente dans les équipes en charge de ces Jeux Olympiques, à tel point que la présidente du Comité français vient de démissionner pour apaiser les quelques tensions internes qui y régnaient.

En outre, en surcroît d’une fête des cinq sens pour les participants et les spectateurs, il semble que l’organisation de ces jeux ait probablement envisagé d’assurer une solide rentabilité financière de l’événement, en tarifant les billets de ces spectacles d’une façon diablement ciblée : 2700 euros pour la cérémonie d’ouverture, 980 euros pour les grandes finales, voilà qui permettra de filtrer habilement le public présent dans les stades.

Progressivement, à l’approche de la date de lancement de cette réjouissante performance organisationnelle franco-française, tous les indicateurs se mettent donc au vert (prudents, ils préfèrent eux aussi s’éloigner de la Capitale).

En parallèle, les préparatifs, notamment hôteliers, continuent donc de bon train : c’est qu’un nombre considérable d’athlètes est à prévoir à proximité des principaux lieux de rencontre.

Les accommodements sont donc en cours de préparation, quitte à subtilement expulser des étudiants de leur logements, comme l’a récemment indiqué le CROUS. La Mairie de Paris, décidément fort inventive et quelque peu baroque dans son approche, mise donc à la fois sur l’adaptabilité aux exigences sportives de ces logements étudiants, tous naturellement construits avec à l’esprit les plus hautes exigences en matière de solidité et de confort, et à la fois sur l’abnégation et la compréhension des étudiants concernés qui, pas du tout conscientisés par des associations gauchistes lucratives sans but, n’auront probablement pas l’idée de faire l’une ou l’autre manifestation d’opposition à cette idée lumineuse.

Du reste, comme – pour le moment ? – elle n’a guère rencontré d’opposition, cette même idée a prestement été transposée à d’autres populations, notamment la faune festive et enrichissante des quartiers les plus vibrants d’un Paris accueillant toutes les diversités : dans un jeu malin de vases communicants, des “sans-abris” d’Île-de-France vont être saupoudrés dans les autres régions françaises. Au passage, on notera la disparition de l’information pourtant intéressante (mais politiquement plus dangereuse) que l’écrasante majorité (pour ne pas dire la totalité) de ces “sans abris” sont des immigrés clandestins qui seront ainsi répartis dans toutes les autres régions du pays.

Enfin “toutes”, non : le saupoudrage n’aura pas lieu en Corse (pour “des raisons logistiques” ou disons plus probablement une raison plastique, celui que les Corses appliquent parfois sur des bâtiments officiels) et surtout pas dans les Hauts-de-France… qui ont mentionné avoir pris de l’avance avec les “futurs Britanniques” en attente de Ferry et qui occupent un espace et des ressources publiques considérables.

Néanmoins, admirons la création de cette nouvelle discipline olympique qui consiste à transformer la région Île-de-France en gigantesque ventilateur dans lequel les autorités en charge semblent absolument vouloir pousser leurs petits soucis de sécurité et de propreté afin de les répartir à égalité sur le reste du territoire qui, gageons-le, sera heureux de participer ainsi.

Nos régions (qui ont du talent, ne l’oublions pas !) vont très certainement adorer se prêter à l’exercice et notre peuple de Gaulois réfractaires mais généreux et chamailleurs comme on le sait ne tardera pas à faire preuve de sa légendaire hospitalité comme le lui impose gentiment l’élite parisienne autoproclamée avec une pertinence et un à-propos rares qui lui permettront d’éviter tous débordements futurs.

D’autant qu’on apprend avec un étonnement modéré que les “Franciliens” récemment déplacés l’ont été dans des structures locales précédemment occupées par des migrants installés depuis quelques temps. Cet intéressant jeu de bonneteau assez peu humanitaire promet d’intéressantes tensions entre les nouveaux et les anciens occupants.

On peut donc raisonnablement parier que ce saupoudrage de migrants devrait donner lieu à une intense compétition dans tout le pays où chacun se fera fort d’en recueillir toujours plus et toujours mieux (notez que tout ceci n’est pas cher, puisque c’est l’État qui paye).

Il ne fait plus le moindre doute qu’à l’occasion de ces Jeux Olympiques, les Français vont vibrer comme jamais : pour répondre aux petits problèmes de personnel qui semblaient pointer leur nez et afin d’assurer la sécurité des biens et des personnes pendant cette période, il est dorénavant prévu un déplacement sensible d’un bon nombre de fonctionnaires des Forces de l’Ordre vers la capitale (on évoque 22.000 agents). Parallèlement, l’application intelligente, humaine et bien organisée de ce saupoudrage olympique de migrants de la capitale vers ces régions dont on aura préalablement retiré les Forces de l’Ordre garantit un été 2024 particulièrement calme et serein.

Cela va très bien se passer.

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Source : https://h16free.com/2023/05/29/74400-nouvelle-discipline-aux-jeux-olympiques-le-saupoudrage-de-migrants


Vous crèverez de faim et vous serez heureux ?

vendredi 26 mai 2023 à 09:00

Tout se déroule donc comme prévu, c’est-à-dire assez mal et avec une croissance alarmante des idées plus débiles les unes que les autres : puisque la pandémie n’a pas fait assez peur pour permettre un asservissement efficace de toute la population, il était entendu, dès l’année dernière, que les hystéries climatiques prendraient le relais.

Grâce aux trépidations écologiques, il devient facile de mettre en place des politiques de plus en plus coercitives et de plus en plus violentes à mesure que les injonctions empiétent de façon croissante sur les libertés fondamentales des individus. Ces derniers ayant le toupet d’exister et de ne pas toujours être d’accord, il conviendra donc de les écraser (inclusivement néanmoins) afin de garantir que les petits projets écologistes soient mis en place sans obstacles.

Ainsi, aux Pays-Bas et malgré une grogne aussi grandissante qu’évoquée de façon biaisée par une presse au niveau consternant de propagande, l’idée d’éliminer une majeure partie des petites et moyennes exploitations agricole continue de faire son chemin. Les protestations n’y changent rien : la démocratie, flutiau qui n’est joué que lorsqu’il s’agit de trouver des prétextes pour augmenter les taxes ou partir en guerre, n’intéresse ici plus personne.

En France, si les paroles sont traduites, la musique reste la même : doucement, et sans grande discrétion, les premières graines d’une décroissance agricole forcée sont plantées par une Cour des Comptes devenue l’étonnante courroie de transmission de l’Extrême-Centre macronien. Pour elle, c’est évident, il faut “définir et rendre publique une stratégie de réduction du cheptel bovin”.

Il n’est pas question de pollution à l’azote (l’excuse débile utilisée par les excités bataves) mais plutôt les émissions de méthane des bovins, autre idiotie fièrement mise en avant par les enragés français pour faire passer leurs âneries. L’argument est désarmant de bêtise mais c’est pourtant celui-ci : le climat se réchauffe, c’est donc la faute des activités humaines, c’est donc à cause de sa consommation de viande, c’est donc parce que le bétail pète du méthane, c’est donc qu’il faut réduire le cheptel (de moitié, mettons, parce que c’est un ratio facile à comprendre).

Ne cherchez dans les “donc” aucune logique, aucun raisonnement. C’est La Science™ écologiste qui parle, donc la Vérité™.

De façon extrêmement commode, ce rapport survient alors que l’actuel ministre de l’Économie vient tout juste de se dilater s’épancher sur Twitter pour y vanter les protéines végétales (par oppositions à celle qu’on trouve en croquant du bovin, français de préférence).

Cependant, il ne faut guère s’étonner d’une telle déclaration puisque derrière se trouve essentiellement un renflement brun du bon gros lobbying, ce capitalisme de connivence que nos élites osent montrer (c’est à ça qu’on les reconnaît). En effet, la baisse drastique du cheptel, c’est l’assurance, par contraposée, d’une augmentation sensible des protéines végétales, issues majoritairement de sojas et pois protéagineux, qui font partie des rotations céréalières… dans lesquelles on retrouve certains petits malins bien introduits dans les cabinets de la République et, surtout, les “Big Four” céréaliers (le Français Louis Dreyfus, représentant 30 milliards d’euros de chiffre d’affaires, et les Américains Bunge, ADM et Cargill pour respectivement 60, 100 et 134 milliards de dollars environ).

Ne vous leurrez pas : ces corporations veulent absolument vous faire manger des bidules de synthèse, des protéines végétales et, pourquoi pas, des insectes parce qu’elles y ont un intérêt financier bien compris et qu’elles ont l’oreille attentive d’impétueux scribouillards de ministères, et non parce que ce serait bon pour vous (c’est même plutôt mauvais), non plus pour lutter contre le climat. En pratique, elles s’en fichent, rien n’indique qu’il se dérègle vraiment et surtout, on peine à voir comment bouffer des insectes, de la viande de synthèse et des protéines végétales pourrait le modifier même à la marge…

En pratique, tous les prétextes sont bons. Les peurs millénaristes idiotes sur le climat sont l’excuse rêvée tant elles marchent bien : non réfutables, elles permettent de tout faire passer auprès d’un nombre affolant d’idiots utiles et de frétillants crétins qui gobent tout, comme du reste ils gobèrent tout ce qui s’est passé les cinq dernières années sans jamais oser se remettre en cause, la peur d’être qualifié de complotiste jouant un rôle formidable de garde-fou et d’autocensure efficace.

Pour faire passer la pilule, il suffira d’enrober de scientisme et de buts “nobles” ces dernières lubies, et ça passera tout seul. Pour cela, on pourra mettre aux manettes les petits taxopathes compulsifs de France Stratégie qui n’hésiteront pas à pondre des rapports aux solutions punitives qui passeront sans souci auprès de médias complètement subjugués.

Le message est clair : en tabassant bien les citoyens (de taxes, de propagande et de flashballs au besoin), on pourra faire en dix ans ce qu’on a eu beaucoup de mal à faire en trente, avec le résultat visible – une désindustrialisation et un appauvrissement massifs du pays – le tout pour des prix de folie, une inflation galopante et des impôts à gogo. Et ce n’est même pas caché.

Au passage, on ne pourra s’empêcher de noter que les 10% les plus riches sont ceux qui, en France, gagnent 3400€ par mois et plus (ce qui, au moment de payer, surprendra certainement plus d’un frétillant citoyen boboïde conscientisé pensant bêtement que les riches, c’était les autres), et on passera pudiquement sur l’aspect temporaire suggéré pour ce nouvel impôt, tant il est vrai que ce genre de choses ne s’éternise pas du tout dans le pays comme en témoignent vignette auto et CSG.

Rassurez-vous cependant : il est évident qu’accroître les impôts pour faire baisser la température, ça va forcément encore mieux marcher que les fois précédentes. Et si ça ne diminue pas assez vite (spoiler : ça ne diminuera jamais assez vite), on mobilisera s’il le faut l’épargne des jeunes, pardi.

Non, décidément, l’agenda 2030 n’est pas une pensée éthérée avec des buts vagues et une réalisation approximative. Il s’agit d’une véritable guerre menée par certaines élites auto-proclamées contre un peuple qui refuse pourtant de décroître et de s’appauvrir. Contre lui, la classe jacassante croit ainsi avoir une vision lucide du futur, de ce qui est bel et bon et de ce qu’il faut faire, vision que le peuple, gras, bête et trop servile, ne peut avoir. Seuls les journalistes, les politiciens et les experts de plateau télé ont la réponse pendant que les autres barbotent dans le marécage de leur ignorance.

Moyennant quoi, cette insupportable classe de parasites imbus d’eux-mêmes ressort absolument toutes les âneries du bolchevisme, du maoïsme, du trotskisme, en vrac et avec fierté, au nom du salut de la planète. Le passé n’a été d’aucun secours, n’offre aucune leçon. Les famines historiques sont au mieux oubliées et au pire, jugées nécessaires pour accomplir leur objectif.

Il y a cependant une “bonne” nouvelle. L’endettement, que ces abrutis entendent faire exploser tout en nous faisant manger de la merde, ne pourra pas avoir lieu car la conjoncture économique est sans appel : les taux d’emprunt vont continuer à grimper, le service de la dette aussi et si la France se dirige vers quelque chose, c’est la cessation de paiement pure et simple qui mettra un terme rapides à ces délires humano-carbophobes.

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Source : https://h16free.com/2023/05/26/74361-vous-creverez-de-faim-et-vous-serez-heureux